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VOUS AVEZ DIT « CHAR D’ASSAUT » ?

20 sept

L’objet de l’archéologie est l’étude des civilisations humaines passées à partir des monuments et objets qui en subsistent. En tant que telle, cette science devrait bientôt connaître une importante modification de son centre d’intérêt en incluant dans son champ de recherche une grande partie de la cavalerie blindée, et notamment sa subdivision d’arme « lourde ».

Considérée à tort ou à raison comme étant le reliquat d’une ère révolue, la cavalerie blindée aborde le monde post URSS de façon dérobée. Ce ne sont pas tant les innovations matérielles et la réflexion doctrinale à son égard qui la mettent en valeur, mais plutôt, de façon négative, des reproches constants quant à son prix (tant d’acquisition que de maintien en condition opérationnelle), à sa vulnérabilité (prolifération des armements antichars portables individuels) et, in fine, à son inutilité (faible déploiement en opération, hormis pour la cavalerie légère et médiane). Dès lors, quels seraient pour l’armée l’intérêt et la justification de conserver un armement couteux et difficile à employer ?

Osons mettre en avant que cette vision des choses est non seulement caricaturale et incomplète, mais surtout fausse.

L’arme blindée cavalerie est l’héritière historique de l’arme cavalerie (de l’italien cavalo – cheval – donnant cavalleria – cavalerie[1]). Elle regroupe en son sein des chars d’assaut, des ERC (engins roues canon) et des véhicules blindés légers. Elle est à ce titre l’une des neuf[2] armes de l’armée de terre et se caractérise, à l’instar de ses pairs, par des unités homogènes aux capacités similaires qui produisent des gammes précises d’effets au moyen de certains types d’actions. À chaque arme appartient donc un rôle et un socle de compétences qu’elle reste la plus à même de réaliser. Sa forme actuelle, ensuite, découle de la période technologique dominante dans laquelle nous nous trouvons. Des chars tractés primitifs de la bataille de Qadesh (1285 av. JC) aux cavaliers sans étriers sous Alexandre le Grand, des grenadiers à cheval de la garde jusqu’aux chars d’assaut, la cavalerie n’a de cesse d’adapter ses moyens à l’« âge[3] » présent afin de toujours être en mesure de remplir ses missions. En ce sens, il n’est possible de parler d’inadéquation des engins de la cavalerie blindée à la conflictualité moderne que si ces derniers ne sont plus en mesure de remplir leur fonction, c’est à dire d’assurer les missions de l’arme. De tels exemples marquent alors une mutation de l’arme vers un nouveau modèle (matériel, organisationnel…), comme le furent la chevalerie au tournant du XVIe siècle et la cavalerie équestre lors de la Première Guerre Mondiale. A ce jour, si l’art de la guerre a évolué depuis 1945, il n’en reste pas moins qu’il n’a pas été bouleversé au point de dénier toute efficacité aux engins roues-canon et aux chars d’assaut. En effet, dans une stricte optique militaire, il serait absolument faux de soutenir que depuis les années 1990 la cavalerie blindée n’a plus sa place sur le champ de bataille car, s’il est indéniable que la prolifération des armements antichars portatifs ainsi que l’intégration technologique ont fortement contribué à la remise en cause de la toute puissance supposée de ces engins, elles ne sont pas pour autant annonciatrices de leur fin. À cet égard, il est de bon ton de revisiter le discours émis à propos de l’arme, et ce notamment en Europe où la dimension militaire de cette équation tend à être totalement écrasée sous le poids des dimensions politiques, idéologiques et psychologiques.

 

         Au plan militaire, il est couramment mis en avant que les divers engagements de la cavalerie blindée depuis la chute de l’URSS montreraient son inefficacité sur le terrain. Cet argument repose sur trois postulats :

         1/ les blindés (tant des ERC que des chars d’assaut) ont atteint un très grand seuil de vulnérabilité dans les guerres récentes et sont très souvent à la merci des armements antichars portables ainsi que plus généralement de tout système d’armes « intelligent » embarqué sur une plateforme terrestre ou aérienne. Le temps des grandes chevauchées pour sidérer l’ennemi (que celles-ci soient réelles ou supposées, respectivement Sedan et la trouée de Fulda) relèverait à présent de l’Histoire.

         2/ Le premier postulat se verrait empiriquement confirmé par les batailles récentes où, quand des blindés furent engagés, ceux-ci se firent étriller, donnant alors une image concrète de ce déclin annoncé de la cavalerie blindée. Ainsi, Grozny serait tout autant le symbole de la décadence post soviétique que celui de l’échec manifeste des chars. Plus récemment, la guerre qu’Israël mena en 2006 contre le Hezbollah dans le sud du Liban ne ferait que confirmer cette démonstration.

         3/ Enfin, la cavalerie blindée en général (les chars d’assaut en particulier) serait un instrument inadéquat du fait des formes que revêt à ce jour la conflictualité. L’hypothèse d’un grand chelem entre les deux grands vainqueurs de 1945 s’étant pour le moment dissipée, les armées occidentales ont principalement à lutter contre des guérillas, des adversaires infra- ou proto étatiques menant des guerres asymétriques, irrégulières. Or, dans ces cas précis, les blindés, matériel d’agression, conçus pour le choc du fort au fort, se voient mis en défaut face à un ennemi évanescent, et surtout, ne possèdent pas la mobilité adéquate (vitesse et mobilité au plan opératif, ce que possède l’aviation légère de l’armée de terre par exemple) pour combattre efficacement.

 

         Passons au crible cet argument et ses trois postulats.

         Premièrement, la vulnérabilité de la cavalerie blindée n’a, en effet, jamais été aussi grande. Cela a pour conséquence d’astreindre cette arme à un fort contrôle préalable de l’espace où elle va être déployée ainsi qu’à une détection et une élimination précoce des menaces. Aujourd’hui un char à découvert est, mutatis mutandis, une carcasse en sursis, pour autant cette menace n’est pas, en l’état, susceptible de condamner à court ou moyen terme la cavalerie blindée. L’évolution des armements dépend pour partie de l’évolution de la technologie. Ce faisant, la façon de faire la guerre ne peut rester totalement figée. Il y a une marche des éléments créant avancées et découvertes, puis innovations, qui seront indubitablement suivies de contre innovations (à l’épée le bouclier, aux charges à cheval la formation en carré, aux armes à feu le gilet pare balles, aux missiles les systèmes de défense anti missiles…). Ce processus, que FULLER nomme le « facteur tactique constant », permet de comprendre mieux que tout autre que rien n’est figé, rien n’est absolu (hormis sur un certain laps de temps : le délai de la mise en œuvre de la contre innovation). Les chars, malgré le tableau peu flatteur qu’en brosse l’argument précité, restent des prédateurs avant d’être des proies. Bardés de systèmes intégrant de la haute technologie (acquisition rapide de cibles, détection accrue, action en tout temps…), équipés d’armes lourdes, possédant un fort blindage (voire un sur blindage) ainsi qu’une grande mobilité tactique, ils sont, à l’instar des navires pour les espaces maritimes, une addition de capacités pour les espaces terrestres car combinant puissance, protection, mobilité et intégration technologique, ce qui fait d’eux un atout de premier ordre. En somme, la vulnérabilité actuelle des blindés aux armements modernes n’a rien de surdéterminante pour leur avenir. D’ailleurs, nombre de systèmes de protection active et passive commencent à poindre. Du blindage réactif, connu depuis la seconde moitié du XXe siècle, la technologie évolue vers des systèmes d’auto défense du véhicule (les plus aboutis semblent être les systèmes israéliens « Trophy » et « Iron fist »). Certes, ceux-ci sont, comme toute innovation à ses débuts, emplis de défauts, mais cela ne compromet en rien leur futur[4].

         Deuxièmement, la prestation de la cavalerie blindée sur le terrain depuis 1991 ne peut nullement se résumer, cela va sans dire, à un ou plusieurs engagements précis dans la mesure où ceux-ci, outre le fait qu’ils dépendent souvent de données conjoncturelles non généralisables, relèvent surtout d’un type d’emploi choisi par une armée donnée. En cela, chaque pays, et incidemment chaque armée, possède une doctrine d’emploi des forces qui lui est propre, ce qui implique une appréhension différente des situations, et ainsi, de l’issue de ce qu’aurait été ledit engagement. En l’espèce, l’exemple de la première bataille de Grozny (décembre 1994 – mars 1995) est révélateur de biens de lacunes et d’erreurs, mais pas de l’inefficacité de la cavalerie blindée, et surtout pas, dans ce cas précis, des chars d’assaut[5]. Joseph Henrotin analyse d’ailleurs cette bataille comme un cumul d’erreurs, entouré de fausses perceptions, grevé de dilettantisme et de gabegies. En clair, les raisons de l’hécatombe que produisirent les forces rebelles tchétchènes sont à rechercher en premier lieu dans l’impréparation militaire des forces armées russes (armée en état de total délabrement depuis la chute de l’URSS), puis, au plan tactique, dans la dissociation des colonnes d’infanterie de leurs appuis dans les rues de la ville. Privées de moyens d’appui-feu direct mobile (les chars d’assaut), celles-ci furent décimées avant que les groupes de chars ne le soient à leur tour anéantis. Loin de constituer la tombe de la cavalerie blindée, Grozny est la sanction de l’absence de coopération des forces de mêlée, de la perte de la synergie interarmes.

La guerre de 2006 dans le sud du Liban, ensuite, où les forces du Hezbollah affichent un impressionnant tableau de chasse (52 chars Merkava au tapis !) n’est pas pour autant une oraison funèbre pour les chars et les ERC. Outre la sous estimation flagrante de l’adversaire que fit Tsahal (le Hezbollah est une puissante techno guérilla[6]), l’utilisation qui fut fait des chars représente le pendant inverse de la première bataille de Grozny. En effet, si ceux-ci furent en général utilisés intelligemment, en combinaison avec de l’infanterie portée, créant alors une bulle interarmes ou fantassins et cavaliers jouissent du cumul de leurs facultés respectives, les derniers jours de la guerre virent cet emploi bouleversé, les chars étant même engagés en autonome pour … prendre une ville du secteur de Marjayoun. Bilan sans appel : sur les 21 chars de la colonne, environ 11 sont détruits dans des embuscades. Cette guerre, une fois encore, ne traduit pas l’impuissance de la cavalerie blindée mais les risques, voire parfois l’ineptie, de faire endosser à la seule cavalerie le rôle de l’infanterie (et vice versa). Chaque arme possède un milieu et des missions pour lesquelles elle est « reine », les autres armes travaillant alors autour d’elle pour concourir à son action. Donner à une arme un rôle qui n’est pas le sien reste possible, mais les objectifs, si tant est qu’ils soient atteints, le seront plus difficilement et avec plus de pertes.

Notons, de manière subsidiaire, que nous avons fait le choix de prendre ici l’exemple d’engagements infructueux ou indécis pour les blindés. Nous aurions pu tout autant traiter d’engagements réussis dans lesquels la cavalerie joue un rôle sinon déterminant, du moins premier (Irak 1991 & 2003, opération Serval 2013).

         Troisièmement, dans un monde où la guerre, à défaut d’avoir disparue (!), est perçue (notamment par les Européens) comme un archaïsme[7], une chose du passé qui, n’en déplaise à Clausewitz, ne serait plus un des mécanismes de la politique mais un phénomène apolitique et immoral, la cavalerie blindée est sur la sellette. Cette vision des choses, fortement teintée d’idéalisme, est pourtant fausse. De manière générale, la guerre conventionnelle (interétatique) a été, est et sera une constante dans le jeu des relations internationales. Ce n’est donc pas parce que l’Europe occidentale n’a pas connu ses ravages sur son sol depuis plus de deux générations humaines que celle-ci n’aura plus lieu. Ce n’est pas non plus parce que depuis plus de vingt ans la majorité des interventions militaires nous ayant concerné furent de type dissymétriques ou asymétriques qu’il faille aujourd’hui faire une croix sur la cavalerie blindée. Technologiquement, aucun système d’arme ne peut à ce jour reprendre le spectre entier de compétence des ERC et chars d’assaut. S’en défaire signifie alors non pas une simple perte de matériels mais la perte d’un ensemble de capacités. De manière plus précise, il faut enfin mettre un point d’honneur à enterrer l’idée, devrait-on dire l’incongruité, que la cavalerie blindée, et surtout les chars d’assaut, seraient inutiles dans les guerres asymétriques (car c’est bien ici que se joue en filigrane l’idée de l’inutilité[8]). Peut être que l’expérience historique de contre guérilla des armées de la France en Indochine puis, dans une moindre mesure, en Algérie contribue à cette idée d’inutilité, il n’en reste pas moins que dès que les mouvements rebelles sont assez forts pour faire exploser la lutte armée (ou quand ils ne s’enferment pas dans une stricte logique d’action par attentat suicide), dès le moment où ceux-ci entreprennent des actions de conquête (cf. l’opération Serval), la cavalerie ne redevient pas utile, elle devient indispensable ! En lieu et place d’écrits théoriques prenons acte de la guerre civile syrienne. Face à une nébuleuse de groupes rebelles, l’armée syrienne est pleinement engagée dans une âpre lutte. Combattant un ennemi infra étatique, elle possède au plan tactique une double supériorité : celle de la combinaison des capacités des engins blindés à celles de l’infanterie (intégration interarmes) ainsi qu’une sur capacité face à un adversaire ne disposant pas de tels moyens. Il ne faut ici faire aucune faute de raisonnement pour déduire une prétendue équation « char = victoire » mais simplement reconnaître ce qui a été entrevu plus haut (et que l’Histoire confirme depuis les premiers engagements des chars dans la bataille de la Somme), c’est à dire qu’à situations égales, une opération où des forces interarmes interviendront se déroulera avec moins de périls et de difficultés qu’une opération où seule une arme de mêlée est engagée.

De même, retourner le  problème permet de mettre définitivement à bas l’idée de l’inutilité de la cavalerie dans les guerres asymétriques. Les entités infra étatiques sont perçues comme des forces possédant de faibles moyens et une logistique défaillante, ce qui leur interdit de facto le combat de haute intensité, le choc du fort au fort ainsi que la détention de tout matériel impliquant à la fois une chaîne logistique importante et une dépendance à certains lieux. Le char d’assaut serait alors le matériel type que ces organisations seraient en grande peine d’entretenir et d’utiliser (chaîne logistique et maintenance + écoles de formation à leur emploi + formation des groupes militaires à la coopération interarmes). Et pourtant ! Le groupe rebelle syrien Jaysh al-islam fait ici figure de contre exemple appréciable. S’étant, comme la majorité des groupes rebelles, aguerri après trois ans de lutte, et s’étant sophistiqué grâce aux prises de guerre et aux soutiens extérieurs, ce dernier a fait une démonstration de puissance, et surtout de compréhension de l’utilité des types de matériels militaires dans les combats, lors du blocus de Mléha, le trois août 2014[9]. Ce groupe a, avec d’autres, attaqué des postes de l’armée syrienne loyaliste en ayant au préalable comblé son déficit en appui feu. Ne disposant pas de pièces d’artillerie en quantité et de qualité, celui-ci utilisa des chars (T-72 et T-55 de diverses versions) et des véhicules blindés de prise (artillerie antiaérienne automotrice ZSU-23/4, véhicules blindés de combat de l’infanterie BMP 1) pour mécaniser son infanterie et la doter d’appui-feu directs mobiles. Utilisant tous ces matériels avec parcimonie car étant conscient de leur valeur militaire, les rebelles ont même créé une école de la guerre mécanisée pour contribuer à leur meilleur emploi !

         Le char d’assaut et les ERC ont donc un avenir militaire pérenne à court et moyen terme. Techniquement ceux-ci sont un moyen abouti et sans équivalent terrestre. Technologiquement, la recrudescence des armements modernes les contraint à tempérer leurs ardeurs mais ne remet en question ni leur idée de système d’arme ni leur emploi. Historiquement, les engagements récents où ces derniers eurent à pâtir de la confrontation soulignent avant tout des erreurs dans les stratégies et tactiques mises en œuvre et non une quelconque inadéquation de ces matériels. Militairement, l’idée de l’inutilité de l’arme cavalerie dans des guerres asymétriques est un leurre.

 

         En somme il s’opère bien une remise en cause de cette arme, mais celle-ci se limite aux dimensions politiques, idéologiques et psychologiques. Le lecteur avisé saura trancher la question de savoir quelle situation paraît la plus ubuesque : celle de prendre la bannière des critiques sur l’inutilité de la cavalerie blindée sur la période récente ou bien celle de voir un groupe rebelle se doter d’un embryon de cavalerie blindée ainsi que d’une partie des infrastructures nécessaires à son emploi.

 

Simon Baumert, diplômé du Master en 2014

[1] « 1/ Ensemble de troupes  à cheval, d’unités de cavaliers.     

      2/ L’un des corps de l’armée comprenant, à l’origine, des troupes à cheval ».

Le Petit Robert, 2011

[2] Infanterie, arme blindée et cavalerie, troupes de marine, artillerie, train, génie, transmission, matériel et aviation légère de l’armée de terre.

[3] John Frederick Charles FULLER, L’Influence de l’armement sur l’histoire, Paris, 1948, Payot, 239 p.

[4] La guerre terrestre reste très en deçà du niveau technologique auquel sont arrivées la guerre aérienne et la guerre maritime, notamment quant aux systèmes de neutralisation des systèmes ennemis. Pour prendre un exemple concret, qui plus est ayant trait aux missiles, les systèmes de défense rapprochée des navires (englobés par l’acronyme anglo-américain CCWS pour close combat weapon system) représentent un avancée significative de la recherche en matière de lutte contre les missiles et imposent, pour neutraliser le bâtiment en étant équipé, de délivrer une salve d’armements intelligents pour obtenir un effet de saturation et alors frapper la cible. Tirer un seul de ces armements, ou tirer au coup par coup, est dans ce cas synonyme d’échec.

[5] Histoire et stratégie, n° 11, juillet-septembre 2012, « Combattre en ville, les fondamentaux de la guerre en zone urbaine », 98 p, pp. 68-72.

[6] Centre de documentation et d’emploi des forces, La Guerre de juillet, analyse à chaud de la guerre Israelo-Hezbollah (juillet-août 2006), Les cahiers du RETEX, 60 p, p. 35. Disponible à l’adresse suivante : http://www.cdef.terre.defense.gouv.fr/publications/anciennes-publications/cahier-du-retex/la-guerre-de-juillet.

[7] VOUILLOUX Jean-Baptiste, La Démilitarisation de l’Europe, un suicide stratégique ?, Paris, 2013, éditions Argos, collection Stratégies, 162 p.

[8] D’une action reconnue dans les guerres conventionnelles, la cavalerie blindée souffre d’un déni général de ses capacités dans les guerres asymétriques. Les lui reconnaître dans ce cadre aurait alors comme incidence de mettre à bas l’argument de son inutilité conjoncturelle sur la période courant depuis 1991.

[9] Article sur le blog de Stéphane MANTOUX :

http://historicoblog3.blogspot.fr/2014/08/exemple-doperation-de-linsurrection_22.html.

 

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