Archive | février, 2014

DICTATURE OU… DICTATURE ? GEOPOLITIQUE DE LA SYRIE

15 Feb

Patrice Gourdin prononçait une conférence sur la situation syrienne à l’IEP d’Aix le 15 février 2014. En appui à ses propos, il offre un diaporama avec les différents éléments nécessaires à la compréhension de la situation : Géopolitique de la Syrie.pptx

Un témoignage exceptionnel sur la guerre d’Algérie

10 Feb

Claude, Georges, PICARD, Un piton séparé du reste du monde, préface de Jean-Charles Jauffret, Editions du Net, décembre  2013, 230 p.

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            Si les soldats appelés en Algérie sont souvent restés silencieux, des témoignages ont paru peu à peu. Et, comme pour les poilus de 1914-1918, leur examen montre que l’épreuve commune prit des aspects fort divers selon les cas individuels. Sur un rayon qui s’enrichit, le journal de Claude Georges Picard fournit son apport propre et mérite l’attention de l’historien, comme le souligne Jean-Charles Jauffret dans sa préface.

            Quand il est incorporé, l’auteur, fils de médecin, vient de quitter l’Université, où son cursus n’était pas éclatant. S’il possède un esprit critique aiguisé, il s’est soumis à l’appel des armes qui lui était imposé : « J’ai choisi par lâcheté d’être otage ». Il observe les autres d’un œil méfiant et il s’observe lui-même sans complaisance. Il scrute volontiers la complexité de ses sentiments, avec une abondance de références littéraires, à Camus bien sûr, et aussi à Rimbaud, à Céline et à Saint-Exupéry. Il a refusé d’être officier, mais il s’est vu nommer caporal, ce qui le distingue déjà parmi ses camarades, ses « codétenus », dit-il. On retrouve chez lui le double décalage de la culture et du grade, qu’a finalement analysé Nicolas Mariot pour les intellectuels mobilisés de la Grande Guerre, dans son dernier opus, Tous unis dans la tranchée ? A fortiori, la communication est à peu près nulle avec les quelques appelés FNSA (Français de souche nord-africaine) de sa section, comme avec les supplétifs harkis qui s’y sont joints.

            Il est affecté sur un piton de la montagne kabyle, à près de 1 200 mètres d’altitude. Son poste de chasseurs alpins doit surveiller une forêt dense, où se cachent les maquisards de l’ALN, et le village limitrophe, qui est classé officiellement comme « non rallié ». Par l’opération  Jumelles du plan Challe, « la rébellion » vient d’y subir des pertes sérieuses, mais elle n’a pas été annihilée complètement et elle bénéficie de la complicité de la population. Donc, « la zone n’est pas sûre » et « les accrochages » à coups de feu sont fréquents quoique brefs.

            Claude, Georges, Picard doit d’abord se comporter en combattant. Armé d’un fusil mitrailleur, il participe à des embuscades nocturnes, aussi longues que vaines. Il assiste, révolté silencieusement, à des interrogatoires brutaux, marqués de recours à la torture, et à une exécution sommaire, maquillée pour la forme. Cependant, sa générosité le pousse en même temps à ouvrir une école pour les enfants du village. Les femmes et les vieillards lui font bon accueil et son chef de poste le laisse faire, « en pensant pouvoir en tirer profit ». Cet adjudant-chef, Roumain passé par la Légion étrangère, baroudeur professionnel, ne manque pas de finesse. L’auteur ouvre aussi un dispensaire, avec des médicaments collectés en métropole, et il écrit les réponses aux lettres qu’envoient les villageois travailleurs en métropole. Cette action lui vaut les compliments du colonel, du préfet et même du général en chef, qui passent en inspection. Lui-même souffre de cette « vie de schizophrène écartelée entre le poste et le village » (p. 116). Et il y revient souvent : « même si je joue malgré moi plusieurs rôles contradictoires au 11/39, je les joue et je l’accepte » (p. 89) ; « entre le soldat de nuit qui n’hésiterait pas à tirer et le gentil Français qui soigne, apprend à lire et à compter je m’y perds » (p. 93).

            Une donnée capitale est, que dans ce secteur homogène, il n’y a aucune population de souche européenne. De ce milieu différent, l’auteur ne rencontre, lors de brefs déplacement, qu’un maire d’esprit plutôt ouvert, et une serveuse aux réactions haineuses. Ici l’affrontement colonial de deux camps est exceptionnellement simple. On n’y perçoit nullement le problème considérable que pose la présence en Algérie d’une communauté européenne, nombreuse dans la plaine côtière et implantée depuis plusieurs générations. La métropole s’est sentie solidaire de compatriotes qui avaient naguère versé leur sang pour sa libération et c’est pourquoi le cruel conflit algérien se prolongea si longtemps. Mais sur un « piton séparé du reste du monde, on peut faire abstraction de cette composante capitale de la tragédie algérienne.

            Dans le temps, ce séjour s’écoule de janvier 1961 à février 1962. Après six années de guerre, les occupants du poste partagent la lassitude générale de l’opinion : « Continuerons-nous longtemps à combattre, à souffrir, à mourir pour une cause inexistante ? » (p. 129). Sans pour autant approuver l’action du réseau Jeanson, que « j’essaie en vain de comprendre » (p. 148). Sur leur poste transistor, les occupants du piton suivent en spectateurs lointains les premières négociations avec le FLN, le putsch des généraux, l’intervention du général de Gaulle. Localement, le climat politique se détériore et le nouveau chef de poste, un jeune sergent engagé, au tempérament répressif, manifeste de la malveillance envers Picard. Celui-ci aspire à « la quille » (la fin du service), qui intervient avant les semaines sanglantes du printemps 1962. En partant, il s’interroge : « Qu’ai-je fait ? Un peu la guerre, beaucoup la paix, ou l’inverse » (p. 202).

            En 1975, l’auteur aura la curiosité de revenir en visite au village de ces années difficiles. Il y sera chaleureusement reçu par ses anciens élèves, par leurs familles et même par quelques-uns des hommes qui l’ont combattu. Certains sont au travail dans la région parisienne et « aujourd’hui ces anciens fellagha sont venus de France en vacances dans leur village ». Il s’en sentira réconforté.

                                                    Pierre Barral

Le génie en Afghanistan. Adaptation d’une arme en situation de contre-insurrection (2001-2012). Hommes, matériels, emploi

8 Feb

La soutenance du lieutenant Christophe Lafaye  a eu lieu Le 29 janvier 2014, dans le cadre solennel de la grande salle de réunion de l’École de guerre. Le Pr. Jean-Charles Jauffret préside le jury, les Pr. François Cochet et Olivier Forcade étant rapporteurs. Le général d’armée Jean-Louis Georgelin (2S), Grand chancelier de la Légion d’honneur, intervient en tant qu’expert. La première thèse entièrement dirigée par un officier d’active titulaire de l’HDR, le lieutenant-colonel Rémy Porte, s’intitule « Le génie en Afghanistan. Adaptation d’une arme en situation de contre-insurrection (2001-2012). Hommes, matériels, emploi ». Menée dans la tradition de la disputatio, la séance se distingue par sa richesse et sa rigueur académique. On note la réactivité constante d’un doctorant qui se situe à la confluence des mondes militaire et universitaire, de véritables échanges se produisant entre l’impétrant et les membres du jury. Sa thèse fait partie des premiers travaux historiques publiés sur l’intervention française en Afghanistan, faisant preuve d’une certaine élévation sur cette question imparfaitement – ou trop superficiellement - connue du public. Empruntant aux méthodes de la sociologie pour la réalisation de son étude, Christophe Lafaye effectue un travail d’histoire immédiate tout en s’ancrant dans les pratiques de l’histoire contemporaine. Il a bénéficié du soutien financier de l’IRSEM et du CHERPA, sous forme respectivement d’une allocation de recherche et d’une prise en charge partielle des frais de terrain. L’impétrant souligne que son statut d’officier de réserve lui a facilité certaines démarches. Outre l’encadrement attentif de son directeur, il a reçu l’appui chaleureux d’un certain nombre de personnes au sein de l’institution militaire, de la part en particulier des commandants successifs du 19e régiment du génie. L’élaboration d’une thèse est une aventure collective, les difficultés matérielles et méthodologiques rencontrées trouvant de ce fait une résolution satisfaisante. Il s’agit de s’inscrire délibérément dans la filiation de la thèse du capitaine Ivan Cadeau[1] mettant en exergue l’importance du génie, peu d’études globales ayant été consacrées aux accomplissements et mutations de cette arme après 1945. La présence d’un chercheur au sein d’une unité constitue simultanément une plus-value à la fois pour les acteurs militaires et universitaires. Le corpus de la thèse de Christophe Lafaye se compose essentiellement d’entretiens[2] avec des membres du génie ayant été envoyés en Afghanistan. Ceux-ci se répartissent sur un très large éventail de grades et de fonctions. En plus d’un travail rigoureux de critique, le traitement des données émanant de témoins encore en activité suppose un certain sens éthique. Il convient de distinguer les sources émanant des pays de la coalition de celles qui sont produites par les antagonistes. Le doctorant a eu recours à des travaux de recherche pluridisciplinaires afin de questionner les définitions de l’adversaire. Grâce aux outils informatiques gratuits que sont Zotero et Netvibes, il a mis en place une veille d’information. Outre le travail sur un substrat récent, sont analysées les évolutions que connaît le génie français à partir de l’aventure indochinoise. S’adaptant à un contexte de guerre froide, il devient l’arme des grands corps mécanisés et amphibies. Sa contribution aux opérations de maintien de la paix lui offre l’occasion de façonner de nouveaux savoir-faire. Il s’agit de promouvoir, à travers l’élaboration d’un aperçu sur le temps long de l’expérience du feu, une meilleure compréhension de l’histoire récente, indispensable pour penser les activités de demain. Après ce discours liminaire bien structuré exposant le projet de recherche dans un français de qualité, intervient l’aréopage. Le directeur fait remarquer que la formation des officiers doit évoluer avec les transformations de la guerre. Le président du jury rappelle le modèle d’officier-historien incarné par le général Jean Delmas. 60 000 soldats français sont passés en Afghanistan, au point que l’on parle de quatrième génération du feu. Au cours de onze années s’est forgé un immense savoir pratique et théorique qui mérite d’être conservé et entretenu. Le professeur Cochet apprécie que les annexes, consubstantielles au corps de la thèse, participent de la démonstration, ne remplissant pas seulement une fonction démonstrative. Si le doctorant a su habilement manier blogs, sites internet, et littérature grise, entre l’histoire des techniques et celle des militants, il pourrait avantageusement approfondir sa recherche dans la direction des stéréotypes que représentent les témoins. La maîtrise des outils informatiques et la manipulation intelligente du virtuel marque un basculement générationnel dans les pratiques académiques. Celle-ci n’est pas exclusive de la hauteur de vue que confère l’étude méthodique des sources classiques. Le Pr. Olivier Forcade insiste sur le fonctionnement de type transnational du génie français dans le contexte d’opérations multinationales chapeautées par un commandement OTAN – et non directement étatsunien. Le général Jean-Louis Georgelin, en tant que personne ayant assuré la responsabilité politique de l’intervention française en Afghanistan, salue le travail minutieux d’interview de témoins effectué dans une vraie simplicité. À une époque où la guerre a déserté l’horizon des Français, l’interface politique peut influencer les activités sur le terrain, les sondages ayant tendance à influencer les décisions. Dans des forces aux effectifs restreints et au budget limité, il est important d’approfondir la réflexion sur la technicité des armées. Christophe Lafaye remarque que le raisonnement tactique d’un soldat français demeure fondamentalement différent de celui d’un Américain. Il existe certes une standardisation OTAN, une doctrine commune, mais la culture militaire nationale ne s’efface pas. Les phases successives de l’intervention française en Afghanistan doivent être distinguées, l’affaire de la passe d’Uzbin survenue les 18 et 19 août 2008 constituant un accélérateur, et non un tournant tactico-opérationnel. La véritable inflexion survient en fait en juin 2007, quand la décision est prise par Nicolas Sarkozy, en conseil de défense restreint, d’impliquer des soldats français dans des actes de combat. Cette expérience dans une zone du monde très éloignée démontre les capacités d’adaptation en interne de l’armée française. La guerre devient parallèlement de plus en plus médiatique, ce qui devrait induire un questionnement moral autour du métier des armes, comme sur le rôle des journalistes. Pour une thèse originale rédigée dans une configuration elle-même singulière, le candidat obtient la double consécration des félicitations du jury à l’unanimité et l’autorisation de publication immédiate.

 


[1]. La thèse d’Ivan Cadeau, L’Action du génie pendant la guerre d’Indochine (1945-1956). Une action entravée par le manque de moyens et une méconnaissance de l’arme, préparée sous la direction du Pr Jacques Frémeaux, a été soutenue à Paris IV (Sorbonne) en octobre 2010.

[2]. Avec l’accord des participants, les quatre-vingt-sept témoignages enregistrés numériquement seront déposés au Service historique de la Défense.

Séminaire IHEDN

2 Feb

Du 20 au 24 janvier 2014 la promotion du Commandant Damien Boiteux, a eu la chance de participer à un séminaire proposé par l’Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale. 

Cette passionnante semaine, s’est articulée autour de cinq modules principaux : Etat du monde et stratégie de la France, Défense et enjeux de l’information, Connaissance de l’outil de défense, Défense et affaires étrangères et Aide à la décision politique.

Le temps était réparti entre conférences, effectuées par des intervenants de qualité issus du monde militaire, diplomatique ou universitaire, visite de site et travaux en comités.

Dans le cadre du premier module, le Professeur Jean-Jacques Roche nous a tout d’abord présenté un panorama de la violence contemporaine en insistant sur la baisse des conflits de haute intensité. Son analyse se fonde principalement sur les théories de relations internationales. Selon lui, il subsiste moins de crises qu’il n’y paraît et cela est notamment dû à quatre prismes. Tout d’abord le prisme de l’information, qui donne des messages tragiques. Il y a le prisme de l’immédiat, de l’urgence et de l’émotion et celui des spécialistes. Le spécialiste tend à dire que dans son domaine de spécialité les choses ne sont pas roses. De plus il souligne que, plutôt que de dresser la cartographie de nos craintes, il faut s’intéresser à ses propres vulnérabilités.

Le Colonel Philippe Adam a ensuite décrit la stratégie de la France au sein de l’OTAN au regard de son expérience de pilote de combat et d’ancien commandant de la base d’Istres. Il a notamment insisté sur la nécessité d’établir une stratégie avec des objectifs réalistes et a souligné que la France avait toujours eu des ambitions fortes et ce aussi à travers l’OTAN.

Un Retex du mandat Serval a été présenté aux auditeurs par le Capitaine De Farsy, qui était chargé des convois logistiques au Mali. Son témoignage nous a fait prendre conscience de la difficulté de la mission qui lui incombait, notamment à cause de conditions climatiques extrêmes (59° à midi dans les véhicules) et de l’isolement des immenses convois logistiques (126 véhicules) par rapport au reste des troupes françaises. Ce fut très enrichissant de découvrir une expérience opérationnelle sur un théâtre actuel. Ainsi, le Capitaine a souligné les progrès que l’armée française devrait effectuer : effort en termes de logistique blindée, de mobilité et de légèreté et de numérisation de l’espace de bataille.

L’ancien ambassadeur Denis Bauchard nous exposa les défis de la diplomatie française au Proche et Moyen-Orient. Selon lui les pays du Moyen-Orient sont confrontés à quatre défis majeurs : soutenir un processus de démocratisation en danger, faire face au chaos, sauver le processus de paix israélo-palestinien, faire face à la menace iranienne. Il insiste sur le fait qu’au Moyen-Orient l’avenir est incertain : Rose ? La démocratie. Vert ? Des Etats islamiques. Blanc ? L’ordre traditionnel. Noir ? Une « somalisation » du Moyen-Orient avec des Etats faillis. Gris ? Des éléments de démocratie à géométrie variable. Pour lui, les printemps arabes ne sont pas finis et nos dirigeants doivent réadapter leur politique à l’égard de cette région.

Dans le cadre du module sur les enjeux de l’information, Alix Desforges présenta aux jeunes participants une intervention sur la cyberstratégie de la Chine : L’art de la guerre revisité. Cet exposé a permis de prendre pleinement conscience de l’importance centrale des cyber-stratégies dans la défense moderne.

Un aperçu de la communication de crise de la défense nous fut présenté par Colonel Alban Desgrees du Lou. Il est ainsi indispensable que la défense communique pour des enjeux, d’image, d’influence et sociétaux. Il a souligné les liens parfois tendus entre les militaires et les journalistes en s’appuyant sur certaines affaires, comme celle de l’île longue ou du légionnaire à la cagoule tête de mort. La difficulté vient notamment du fait que le temps médiatique et le temps politique ne sont pas les mêmes.

Une présentation des outils de renseignements français nous a été proposée respectivement par un intervenant de la DGSE et un autre de la DCRI complétant ainsi la formation que nous avons pu recevoir dans le cadre du master. Des notions d’intelligence économique ont aussi été proposées aux auditeurs par Monsieur Nicolas Houël travaillant chez Dassault aviation.

Dans le cadre du module sur la défense et les affaires étrangères, le Général Patrice Sartre nous a présenté une intervention sur « Qu’est-ce que gérer une crise aujourd’hui ? » en insistant notamment sur la difficulté de comprendre une crise et de la gérer en prenant en main les hommes de la crise, en démontant les structures de la crise et en rétablissant une société en équilibre.

Enfin, les missions d’un conseiller en ambassade nous ont été présentées par Monsieur Emmanuel Mignot, qui souligne les cinq fonctions principales d’un diplomate, à savoir : informer, protéger, promouvoir les relations entre Etats, représenter son pays et communiquer.

Lors de cette intense semaine à l’IHEDN, les étudiants ont aussi eu l’occasion de visiter la base aérienne de Creil qui est aussi une base de défense. Cela nous a permis de comprendre toutes les fonctions de cette base sensible et contribuant à toutes les missions de la défense nationale.

Les étudiants ont de plus été amenés à participer à des travaux en comités. Six comités furent formés par des groupes d’une douzaine de jeunes et trois questions furent posées, ainsi deux comités travaillaient à chaque fois sur le même sujet ce qui a permis de les mettre en concurrence au moment de la restitution devant le jury. Il été demandé à deux comités de présenter au gouvernement une stratégie afin de vendre le Rafale en Inde et dans les pays du Golfe, deux autres durent proposer des scénarios probables pour l’avenir de la Centrafrique et les deux derniers comités travaillèrent sur les éventuelles possibilités de coopération entre l’OTAN et la Russie dans le cadre de la défense anti-missile.

Ce séminaire à l’IHEDN a ainsi permis à la promotion Commandant Damien Boiteux, d’approfondir ses connaissances sur des questions de défense, tout en confrontant ses points de vue avec d’autres jeunes, ce qui est toujours très formateur. Ce fut une expérience riche et intense à vivre entre étudiants de la même promotion.

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